Quatrains du métro parisien.
– N°36. On achève bien les chevreaux.
La mouflette a deux ans et tient à peine debout.
Elle tient la main d’une femme qui doit être sa nounou.
La jeune femme marche vite et sans la regarder.
La gamine doit courir pour rester à côté.
J’ai imaginé la scène entre pitié pour la mouflette et rire.
Oui j’avais pitié de la gamine, à chaque rue croisée elle pouvait récupérer un peu, mais après elle devait cavaler 😦
c’est au combien vrai !
Pauvre réalité très bien contée…