En photo, il y a deux choses essentielles. La lumière et le cadrage.
Illustration de comment le cadrage peut changer drastiquement le message transmis par une photographie.

A Paris, la disette est telle qu’on mange du rat
Des rats morts (et l’on s’aimera encore, lorsque l’amour ce rat mot… 🎶🎵) Voilà qui nous ramène aux heures les plus sombres de notre histoire. Peste, famine, guerre etc (et Ringo). A moins que…

boutique de destruction de nuisibles
Ah ben oui, forcément, avec la photo entière, c’est pas pareil. Même si ça surprend toujours les touristes (et pas qu’eux) de trouver, à côté des Halles donc au coeur d’un quartier commerçant, une vitrine pleine de pièges à souris, poison et assortiment de muridés pendus, donc.
Plus léger, une photo datant du pic de la crue de la Seine cet hiver.

Quelle ville moche et sale et où tout est interdit!
C’est encombré, peu lisible, avec une barrière de fortune pour interdire l’accès aux bords de la Seine en pleine crue – ce qui n’est pas très pratique pour les photos. Ca va, le niveau de l’eau ne monte pas si vite qu’on puisse se faire surprendre. Pff… faut toujours gâcher la liberté des uns pour préserver les autres contre leur propre idiotie.

Quelles belles lumières sur cette rivière en crue!
C’est essentiel le cadrage en effet. Et l’humour, c’est vital !
J’ai plus d’humour que de talent photographique. 😉 Mais au fil du temps j’ai appris deux trois trucs.
Stupéfiante cette vitrine ! On s’en souviendra longtemps !
Oui il y a toujours des touristes qui s’arrêtent devant (je découvre des commentaires que j’avais loupés…).
On en fait des choses en recadrant ^^
(tiens, rien à voir, mais j’ai trouvé le nom des oies photographiées l’autre jour)
Ah je vais voir!
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