Je l’ai toujours dit (enfin, depuis que je l’ai compris) : les fandoms, c’est entre autres une manière de s’ouvrir à des choses qu’on n’a encore jamais fait, et qu’on ne ferait peut-être pas sans cette occasion. Voyager, rencontrer des gens d’autres milieux, d’autres pays…
Ainsi, je m’étais toujours dit que les festivals, ce n’était pas mon truc: déjà parce que j’aime très peu de groupes, j’ai tendance à m’ennuyer au bout de 2 chansons quand je ne connais pas (et quand ce n’est pas le cas, j’ajoute tout de suite le groupe à ma playlist pour creuser car justement c’est assez rare pour que je ne fasse pas la fine bouche pour de vulgaires question de snobisme. Ce fut le cas pour Babymetal).
Alors rester debout des heures à me tartiner des groupes que au mieux je supporte, pour ne pas être trop mal placé pour celui que je veux voir, bof… Et l’ambiance « camping, bière et sandwich », ce n’est pas trop mon truc non plus.
Mais vu que c’était la seule occasion de voir Babymetal en France cette année, me voilà partie pour assister au premier Download Festival français. Annoncé comme un festival « dédié à toutes les formes de rock », mais quand même sacrément orienté metal, quand on voit le line-up : Anthrax, Iron Maiden, Megadeth, Rammstein, pour ne parler que des plus connus. Autre raison pour moi d’y retourner à deux fois (ou trois) avant de prendre mon billet.