Apparemment tout le monde le fait et à la réflexion, ça me tente.
On va essayer de se concentrer sur le positif même si ce n’est sans doute pas ce qu’on est tenté de retenir rétrospectivement…
L’année avait mal commencé avec la suite de la grève RATP / SNCF.
Dès qu’elle s’est achevée, je me suis empressée de faire une petite visite familiale dont ces gougnafiers m’avaient privé pour les fêtes, célébrées via Zoom, ce qui n’est pas pareil du tout. Ce n’est pas qu’on fête ça en énorme comité, mais justement…
Et j’ai bien fait vu qu’ensuite, je n’ai pas pu le refaire pour diverses raisons suite aux « événements ».
En février, même si ça paraît plus lointain que l’an dernier tellement cette année a paru interminable, j’ai quand même pu assister à deux concerts, dont un à l’étranger (à Bruxelles) : les deux, de Babymetal, alias mes metalleuses japonaises en jupette, afin de célébrer ensemble le culte du Dieu Renard. Loué soit-il.

En mars, évidemment, ça s’est gâté, je ne vous dis pas pourquoi…
Point positif : ma société (dans le domaine de l’informatique) était 1) équipée pour nous envoyer tous en télétravail dès l’annonce de notre incapable président (celui de la République, j’entends) et 2) a appliqué un principe de précaution bien supérieur à celui de nos politiques en carton. Ce qui, j’ai été navrée de l’apprendre, n’a pas été le cas de toutes les boîtes, publiques ou privées, même quand elles étaient équipées pour. La culture du management version petit chef, en France, c’est quand même terrible… Si tu n’es pas capable de voir si ton équipe bosse en télétravail, c’est que tu es incompétent comme manager, le télétravail ne changera rien à l’affaire.
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