Quatrains du métro parisien
– N°11. Le téléphone à pleurs
Tu déballes ta vie sans pudeur et sans complexe,
Soûlant la rame entière de ta conversation.
Soudain tu regardes ton téléphone, perplexe.
Bénies les zones des tunnels sans réception.
Quatrains du métro parisien
– N°11. Le téléphone à pleurs
Tu déballes ta vie sans pudeur et sans complexe,
Soûlant la rame entière de ta conversation.
Soudain tu regardes ton téléphone, perplexe.
Bénies les zones des tunnels sans réception.
J’ai la gorge qui me picote,
Je suis serrée à la glotte,
J’ai le nez qui coulote
Et les yeux qui me frottent.
En résumé,
Je suis enrhumée.